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Journal n°57 : spécial élections professionnelles novembre 2008.

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 22:46

A lire et à diffuser largement le nouveau 4 pages

 

 

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 00:07

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 00:04

Communiqué de presse


CGC, CGT, CFDT, CFTC,

FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA

Lors du deuxième rendez-vous salarial dont les conditions ne correspondent pas à celles d’une réelle négociation ni sur le fond ni sur la forme,  les organisations ont exprimé leur colère et celle des agents publics dans un contexte : de perte de pouvoir d’achat, d’aggravation des conditions de travail, de suppressions massives d’emplois et de « réforme » des retraites. Elles ont refusé que les salariés du public comme du privé paient le prix fort d’une crise dont ils ne sont pas responsables.  

Elles ont  réaffirmé ensemble que la valeur du point d’indice est l’élément central et prioritaire en matière salariale dans la fonction publique.

 

Elles ont rappelé également que des mesures, permettant de combler les pertes des années antérieures et de garantir au minimum le pouvoir d’achat pour les années à venir, sont indispensables.

 

Les organisations ont à nouveau exigé que s’ouvrent de véritables négociations prioritairement sur la valeur du point d’indice. 

Le Ministre n’a pas apporté de réponse satisfaisante aux demandes des organisations sur cette question.

Il n’a pas pu revenir sur l’engagement pris en 2008, il s’est contenté de confirmer l’augmentation de 0,5% au 1er juillet 2010.

Le gouvernement évite l’annonce d’un gel des salaires des agents de la Fonction publique pour les années 2012/2013. Il annonce par contre le gel de leur salaire pour l’année 2011. Les années 2012 et 2013, étant renvoyées à d’hypothétiques rencontres d’ores et déjà placées sous de sombres hospices.

Considérant qu’il ne s’agissait pas de négociations salariales ; les organisations syndicales ont à nouveau quitté la séance.

 

Nos organisations, CGC, CGT, CFDT, CFTC, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA estiment que pas plus que celle des retraites et de l’emploi, la page des salaires n’est tournée ce soir.

Tout au contraire elles prennent leur responsabilité et appellent, ensemble, les agents à se mobiliser.

 

 

Paris le 30 juin 2010

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 21:07

 

Départ anticipé en retraite pour les mères de trois enfants

 

 


Eric WOERTH et Georges TRON ont donc décidé de repousser la date du dépôt de la demande du 13 juillet 2010 au 31 décembre 2010.

 
Ainsi, les personnes qui déposeront une demande de départ à la retraite avant cette date bénéficieront des anciennes règles de calcul pour un départ à la
retraite au plus tard au

1er juillet 2011


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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 21:04

CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

Communiqué de l’intersyndicale du 29 juin


Ces dernières semaines, les salariés du public et du privé, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités se sont mobilisés de plus en plus massivement sur les retraites, notamment le 24 juin 2010. Ils ont réaffirmé leur opposition au projet de réforme injuste et inacceptable du gouvernement, notamment au report brutal des âges légaux à 62 et 67 ans qui pénalise particulièrement les salariés ayant commencé à travailler jeunes et ceux ayant eu des carrières chaotiques et incomplètes.
Cette réforme n’apporte, par ailleurs, pas de réponse sur le plan de la pénibilité.
Elle aggrave les inégalités entre les hommes et les femmes. Les organisations syndicales dénoncent la campagne médiatique précipitée du gouvernement qui travestit la réalité du projet.
Cette réforme, une des plus dures d’Europe, arrive dans une situation économique dégradée où le chômage est en hausse continue et touche plus fortement les jeunes et les seniors. Les politiques de rigueur se généralisent dans toute l’Europe en aggravant les inégalités et hypothèquent fortement toute reprise.
Des initiatives intersyndicales viseront à interpeller le gouvernement et ses représentants, aux niveaux national et local, le 13 juillet, jour du Conseil des ministres qui adoptera le projet de loi. Durant l’été, les organisations syndicales interpelleront les parlementaires.


Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA vont poursuivre leur action tout au long du processus législatif de la réforme des retraites.


Elles décident d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010, au moment où s’ouvrira le débat parlementaire. Elles appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à construire ce jour une mobilisation d’ampleur.

29 juin 2010

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 22:03

C'est massivement que les salariés du privé et du public,les jeunes et les retraités, les femmes,  les privés d'emplois  se sont  mobilisés le 24 juin  pour dire qu'ils ne veulent pas payer la crise dont ils ne sont pas responsables et refuser   le projet injuste  de réforme des retraites que le gouvernement veut imposer.

 

manif 12

 


Nous étions 48 000 dans le Finistère :

 

 

 

manif 22

                   Brest : 22 000 

         Quimper : 15 000    

              Morlaix : 6000

        Quimperlé : 5000          

 

 

 

 

 

 

 

 

On peut gagner

 

 

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 17:39

La puissance et la détermination qui ont caractérisé les grèves et les manifestations unitaires font du 24 juin la journée d’action syndicale interprofessionnelle la plus forte de l’année 2010.


A 17h30, la CGT a recensé 1 920 000 manifestants dans les 201 points de rassemblements et cortèges qui ont couvert l’ensemble du territoire. Avec des milliers d’arrêts de travail dans les entreprises du privé et dans les services publics, c’est largement plus de 2 millions de personnes qui ont, d’une façon ou d’une autre, participé à cette action collective soutenue par 68 % de la population.


Un grand nombre de salariés de toutes professions et de toutes générations ont su relever le défi quelques jours après que le gouvernement a présenté son projet de réforme des retraites.

C’est bien la détermination des salariés à empêcher la mise en œuvre d’une réforme inacceptable et injuste qui s’est largement exprimée aujourd’hui.


Des centaines de milliers de voix se sont fait entendre contre un report de l’âge de départ en retraite à 62 et 67 ans, la non reconnaissance des métiers pénibles, des dispositions qui reviennent à faire payer aux salariés la facture d’une crise dont ils ne sont pas responsables.

Une majorité de français refuse la mise en œuvre d’une réforme des retraites parmi les plus brutales d’Europe, conçue d’abord pour répondre aux injonctions des marchés financiers au détriment de l’emploi et de la consolidation du système de retraite solidaire par répartition.


Le gouvernement doit entendre les revendications syndicales, les aspirations à plus de justice sociale.


A l’évidence, c’est un conflit de plus grande ampleur qui se dessine si le gouvernement persiste dans ses intentions.


La CGT estime que, forte de l’immense succès de cette mobilisation, l’intersyndicale du 29 juin est confortée dans sa démarche et pour préparer d’autres initiatives.


La CGT considère que l’actuel projet de loi portant réforme des retraites ne doit pas être soumis à l’examen du Conseil des Ministres du 13 juillet. Cette revendication doit être portée sur chaque lieu de travail.


La CGT exige l’ouverture d’un vrai cycle de négociations avec les syndicats de salariés afin d’arrêter les dispositions de nature à pérenniser le système et le niveau des retraites.

Montreuil, le 24 juin 2010 – 17h30

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 23:43

Communiqué commun


 

CGT, CFDT, Union Syndicale Solidaires, FSU, UNSA, LDH, Cimade, RESF, Autremonde, Femmes Egalité et Droits devant.


Le Ministère de l’Immigration a publié le 18 juin 2010 un texte exposant de nouveaux critères de régularisation pour les travailleur-e-s sans papiers. Ce texte représente une avancée significative. Le 1er octobre 2009, les onze organisations syndicales et associations signataires de la lettre au Premier Ministre (CGT, CFDT, UNSA, Solidaires, FSU , Ligue des Droits de l’Homme, Cimade, RESF, Autremonde, Femmes Egalité, Droits Devant) avaient demandé au Gouvernement un texte avec des critères améliorés, simplifiés, objectifs, uniformes sur tout le territoire national et garantissant l’égalité de traitement entre tous les salariés. L’absence de réponse à ce texte avait été à l’origine du mouvement de grève du 12 octobre 2009. Ce texte et ces critères sont maintenant publiés. Il faut désormais les mettre en œuvre et veiller à leur application loyale, pour permettre la levée des piquets de grève.


Il semble que la tentation existe encore au sein du Ministère de l’Immigration d’ajouter un critère relatif à la durée du séjour en France. Un tel critère serait contradictoire avec la logique du texte, qui repose exclusivement à juste titre sur la prise en compte de l’activité salariée.


Tel qu’il a été publié, ce texte témoigne d’une évolution significative. Désormais les travailleurs et travailleuses sans papiers sont regardés -par les pouvoirs publics eux-mêmes- non plus comme des migrants illégaux mais comme des salariés, qui remplissent une fonction positive dans notre économie, qui ne prennent le travail de personne, et qui doivent se voir reconnaître la totalité de leurs droits de salariés. Au début du mouvement, nous avions dit : « Nous ne voulons plus de travailleurs sans droits dans notre pays ». Un pas considérable est en passe d’être franchi dans cette direction.


Ce résultat est dû avant tout au courage des 6250 grévistes. Au travers des pires difficultés, ils ont su maintenir leur unité et leur volonté farouche d’aboutir. Ils ont été épaulés par la mobilisation tenace de centaines de travailleuses sans papiers des « services à la personne ». L’avancée obtenue leur appartient.


Elle a pu intervenir grâce à la détermination commune des « Onze » organisations syndicales et associations parties prenantes de ce mouvement, ainsi qu’au puissant courant de solidarité qui s’est développé autour de cette lutte. L’engagement de certains employeurs dans le cadre de « l’approche commune » a lui aussi contribué aux progrès accomplis.


La lutte des travailleurs et travailleuses sans papiers prend une valeur d’exemple qui, au-delà d’eux, concerne tous les salarié-e-s de notre pays.

sans-papier-1.jpg

Paris, le 21 juin 2010

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 16:26

  pdf.pngTélécharger le tract du SDEN

                                                                                                                                                                                                    

 

 

 

 

Objectif de cette réforme : rassurer les marchés financiers et les agences de notation en faisant  payer tous les salariés.

 

Le gouvernement vient de rendre  public son projet de destruction de notre système de retraite, après un plan de communication savamment orchestré,  articulant fausses fuites  et vrais mensonges.

 

Le MEDEF doit se réjouir, ce sont les salariés qui vont payer une fois de plus :


 

Exit la retraite à 60 ans, ce sera 62 pour tout le monde en 2018, ce qui pousse à 67 ans pour l’obtention d’une retraite à taux plein

 

Allongement de la durée de cotisation à 41.5 annuités en 2020      

 

Pénibilité reconnue au cas par cas pour un éventuel départ anticipé

 

Augmentation du taux de cotisation de tous les fonctionnaires de 7.85% à 10.55%

 

Fin du dispositif de départ des parents ayant 3 enfants après 15 ans de service dans la Fonction publique après 2012.

 

Avoir tous ses trimestres ou 67 ans (âge d’annulation de la décote) pour bénéficier du minimum vieillesse

 

Les quelques mesures concernant les hauts revenus ne sont rien par rapport à ce que vont supporter tous les salariés.

 

Car concrètement ces mesures vont tous nous appauvrir que l’on soit du privé ou du public :

 

Les plus âgés d’entre nous qui sont hors de l’emploi, alors qu’ils voudraient travailler doivent aujourd’hui, en moyenne, attendre 7 ans pour avoir accès à la retraite. Qu’importe pour eux, ils attendront 2 ans de plus. Où est la justice ?

 

Les jeunes, dont l’entrée dans l’emploi stable se situe en moyenne  à 27 ans. Avec 41.5 annuités de cotisation, ils ne pourraient prétendre à une retraite complète qu’à 68.5 ans. Enfin, s’ils ont toujours un emploi et s’ils sont toujours en bonne santé ou s’ils vivent jusque là, car à dégrader  le travail et le rallonger sans cesse on peut se poser des questions sur l’espérance de vie.  Où est la justice ?

 

Les salariés dans les métiers pénibles : ils  continueront à être exposés, mais s’ils sont résistants, ils pourront  poursuivre jusqu'au bout. Les autres seront soumis à visite médicale. Un métier est pénible ou ne l’est pas !  Les ouvriers ont en moyenne 7 ans d’espérance de vie  de moins que les autres. Où est la justice !

 

Les femmes : 44 % des femmes avaient en 2004  une retraite complète avec des niveaux de pensions inférieurs de 23 % à ceux des hommes du fait des salaires déjà inférieurs et des carrières incomplètes et à temps partiels. 60 %  d‘entre elles n’ont que le minimum vieillesse, soit 708.95 euros par mois. L’allongement de la durée de cotisation et le recul de l’âge à la retraite vont encore dégrader cette situation. Où est l’égalité femme/homme ? Où est la justice ?

 

Les fonctionnaires : l’augmentation du taux de cotisation  est une baisse du salaire net qui ne dit pas son nom. Les avantages familiaux sont supprimés. Où est la justice ?


 

Travailler plus longtemps pour toujours moins.  Ras le bol !

 

Quand on sait que notre secteur est largement féminisé (65 % de femmes dans la l’Education nationale), que les jeunes vont rentrer dans le métier de plus en plus tard avec la réforme de la formation des maîtres, que  nos salaires vont être amputés : c’est la triple peine  et c’est inacceptable !

 

Ne laissons pas faire le gouvernement

D’autres solutions sont possibles pour financer les retraites

 

Pour nous c’est 60 ans

75% du salaire de référence

Pas de pensions au-dessous de 1600 euros

 

Mobilisons nous pour nos droits

Soyons nombreux en grève et dans les manifestations  le 24 juin

 

BREST- QUIMPER- MORLAIX- QUIMPERLE - 10h30

 

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 16:14

 

Le gouvernement vient de rendre public l’avant-projet de loi sur la réforme des retraites à l’issue d’une pseudo concertation. Pour la CGT, c’est une réforme brutale pour un recul social sans précédent qui appelle ces premiers commentaires :

En repoussant l’âge de départ à la retraite à 62 ans et l’âge de la retraite à taux plein à 67 ans (au lieu des 60 et 65 ans actuels), et en confirmant l’allongement de la durée de cotisation à 41,5 ans, les conditions d’acquisition des droits à la retraite en France seraient les plus drastiques en Europe,

 La quasi-totalité des salariés du public et du privé sont concernés,

 L’âge de départ en retraite serait repoussé à partir du 1er juillet 2011 sur un rythme accéléré pour atteindre 62 ans pour les salariés qui peuvent prétendre aujourd’hui à partir en retraite en 2016,

 Le droit à la retraite à taux plein serait porté à 67 ans. Les femmes dont 30 % sont déjà contraintes aujourd’hui de partir à 65 ans en seront les principales victimes,

 Les différentes mesures d’âge vont toucher plus particulièrement les jeunes. Ainsi, d’ici 2016, c’est plus d’un million d’emplois qui ne leur seront pas ouverts parce que leurs parents devront travailler plus longtemps.

 Le traitement des salariés exerçant des métiers pénibles et astreignants relève de la provocation. Il n’y aurait aucun métier pénible. Seul serait apprécié le degré d’usure du salarié qui, le cas échéant, lui permettrait de continuer de partir à 60 ans. On est loin du droit au départ anticipé avant 60 ans pour une retraite en bonne santé, alors que la CGT estime à 15 % les salariés en emploi pénible,

 Pour les fonctionnaires, la cotisation retraite augmentera de 2,7 %. Le dispositif de départ anticipé pour les femmes ayant eu 3 enfants disparaîtrait. Au nom de l’équité, c’est l’alignement des droits par le bas,

 Pour les régimes spéciaux : le gouvernement confirme que les mesures s’appliqueront aux salariés des régimes spéciaux. Il cherche surtout à éviter un front uni de tous les salariés en différant la mise en œuvre en 2017.

Ainsi l’ensemble des dispositions affectant les droits en matière de retraite représenterait une ponction de 22,6 milliards d’euros en 2018, 25,1 milliards d’euros en 2020.

Parallèlement, les propositions concernant la mise à contribution des hauts revenus, des revenus du capital, des entreprises ne font qu’égratigner les dispositions en leur faveur. Leur seule vocation est de créer l’illusion que la réforme est juste. Les recettes attendues sur ce plan sont estimées à 4,4 milliards d’euros en 2020, soit 5 fois moins que les sacrifices imposés aux salariés.

Le projet de loi est très largement marqué de l’empreinte du MEDEF qui réclamait le report de l’âge légal de la retraite. Les entreprises obtiendraient de plus de nouvelles aides financières pour l’emploi des plus de 55 ans.

La brutalité des mesures gouvernementales vise à répondre à la pression conjuguée des marchés financiers et des agences de notation qui exigent une réduction des budgets publics et sociaux dans tous les pays européens.

Non content d’affaiblir encore davantage le système de retraite par répartition, en accentuant les conséquences des réformes antérieures qui amputent déjà le niveau des retraites, le gouvernement n’apporte aucune réponse nouvelle aux défis du chômage, des bas salaires et de la précarité.

C’est pourtant dans la réponse à ces problèmes que réside l’essentiel des solutions garantissant la pérennité des retraites. Pour la CGT, c’est évident, cette réforme des retraites doit être résolument combattue.

Chaque salarié de tout âge et de toute profession doit prendre conscience que c’est de sa mobilisation que tout va désormais dépendre. La CGT appelle tous les salariés à mener campagne pour des grandes manifestations unitaires et interprofessionnelles le jeudi 24 juin prochain et l’organisation de nombreux arrêts de travail dans le privé et le public.

Montreuil, le 16 juin 2010


                               pdf.png                                                                         pdf.png   

    Dossier du gouvernement remis à la presse                       synthèse du gouvernement

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